Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 19 juin 2011

"Tu écris toujours ?" sur Feedbooks

tut_cce.jpgLe recueil de chroniques humoristiques de Christian Cottet-Emard, Tu écris toujours ?, a été publié l'an dernier aux éditions Le Pont du Change.

Un extrait (3 chroniques) a été mis en ligne par ailleurs sur la plateforme Feedbooks, sous forme de livre numérique gratuit. Cet extrait a été téléchargé plus de 600 fois depuis le mois de mai 2010.

Pour le livre papier, voir le site de l'éditeur.

 

 

dimanche, 28 mars 2010

La nouvelle, 2000 téléchargements

De mes six textes présents sur la plateforme Feedbooks, les plus téléchargés à ce jour sont :

 

La nouvelle, 2024 téléchargements.

Café Corneille, 1296 téléchargements.

La donne, 993 téléchargements.

 

Merci à Solko pour son billet chaleureux sur mes nouvelles absurdes :

http://solko.hautetfort.com/archive/2009/07/22/cafe-corne...

 

 

Les 6 ebooks en ligne (cliquer sur les couvertures) :

 

Corneille2.JPG

appartement3.JPG

corbeaux2.JPG

nouvelle.JPG

donnecouv2.jpg

 

 

 

3pe.png

 

 

mercredi, 30 septembre 2009

Café Corneille, définitivement une fiction

Le restaurant-bar Le Corneille, situé 132 rue Pierre Corneille à Lyon-3e, cadre de la nouvelle Café Corneille, vient de céder la place à un nouvel établissement, Tête à Tête, bistrot ouvert par Christian Têtedoie, le chef étoilé du quai Pierre Scize.

Corneille2.JPGLa disparition du Corneille, reléguant ce café dans le passé, a pour moi l'étrange conséquence de transformer ce texte en fiction, ou du moins d'en accentuer le caractère fictif. Déjà le café contigu, qui s'appelait Le Beaujolais, avait changé de nom depuis plusieurs années. Mais cette fois, c'est le lieu même de l'action qui s'est transformé dans la perte de son nom (sa raison sociale).

J'éprouve curieusement une sorte de soulagement avec la fin du Corneille. Le réel étant inextricablement lié avec la fiction, je ne pouvais passer devant cette enseigne sans une certaine gêne, car j'avais mis en scène un lieu commercial sous couvert de décor et des personnes existantes sous couvert de personnages. Lors de la mise en ligne de la nouvelle sur la plateforme Feedbooks, sous forme d'un e-book, j'avais par courtoisie envoyé le texte aux gérants du restaurant-bar. Ceux-ci ne m'avaient pas répondu, mais j'ai appris récemment qu'ils n'étaient que les repreneurs de cet établissement, et que la femme qui avait créé ce café-bibliothèque si original ne le tenait déjà plus, s'étant retirée des affaires.

*

Mise en ligne sur Feedbooks voici un an, cette nouvelle a été téléchargée plus de 900 fois. Simultanément, le texte La nouvelle dépasse les 1300 téléchargements. Alors que le livre se vend très difficilement, je reste surpris par le succès du téléchargement gratuit.

 

dimanche, 22 mars 2009

Feedbooks, 2600 téléchargements

De mes 6 textes présents sur la plateforme Feedbooks, les plus téléchargés à ce jour sont :

 

La nouvelle , 720 téléchargements.

Café Corneille, 525 téléchargements.

La donne, 450 téléchargements.

 

Les 6 ebooks en ligne (cliquer sur les couvertures) :

 

Corneille2.JPG

appartement3.JPG

corbeaux2.JPG

nouvelle.JPG

donnecouv2.jpg

 

 

 

3pe.png

 

 

mardi, 16 décembre 2008

Un article sur Feedbooks

A l'invitation de Roger Gaillard, j'ai repris le texte de divers billets précédemment parus sur ce blog pour en tirer un article de synthèse sur mon expérience de publication chez Feedbooks.

C'est sur le site de L'Oie plate, dans "Mots et maux d'auteurs", l'article :

Un écrivain expérimente la publication chez Feedbooks.

 

3pe.pngUn nouvel ebook a par ailleurs été mis en ligne début décembre :

Trois portraits d'écrivains

 

Ces courts textes sont extraits du recueil Portraits d'écrivains publié chez Editinter en 2002.

 

 

mardi, 18 novembre 2008

Feedbooks, 1000 téléchargements

Lorsqu’au mois d’août dernier je me lançais dans l’expérience Feedbooks, sur les traces de mon ami Markus Leicht, je ne savais pas du tout ce qu’il en résulterait. Aujourd’hui, avec plus de 1000 téléchargements de mes textes (plus de 300 pour La nouvelle, plus de 200 pour Le petit appartement au sixième étage dans la prairie et La donne), je dois avouer, en auteur habitué aux éditeurs confidentiels et aux tirages limités, que je n’en espérais pas tant. En quelques mois, l’outil de publication Feedbooks s’est grandement amélioré, avec la mise en place d’un véritable éditeur de texte, la possibilité de doter les ebooks d’une couverture personnalisée, tandis que la fréquentation augmentait régulièrement. Je crois plus en Feedbooks, destiné à un nouveau lectorat adepte de nouveaux supports, qu'aux solutions mixtes qui existaient jusqu'à présent (Manuscrit, Publibook, Lulu...) et qui permettent vente de fichiers numériques et impression à la demande. Le public du numérique se soucie peu d'une impression papier ; inversement, le public resté fidèle au livre traditionnel veut de vrais livres mais pas de fichier.

Reste à savoir, comme le dit Markus Leicht, si les lecteurs qui téléchargent ces textes gratuits seront prêts à débourser quelques euros pour lire des véritables recueils ou romans numériques quand Feedbooks offrira un espace de vente en ligne.

 

Les 5 ebooks en ligne :

 

Corneille2.JPG

appartement3.JPG

corbeaux2.JPG

nouvelle.JPG

donnecouv2.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Café Corneille

 

Le petit appartement au sixième étage dans la prairie

 

L'année des corbeaux

 

La nouvelle

 

La donne

 

 

mercredi, 24 septembre 2008

Feedbooks, nouveau bilan d'une publication numérique

J’ai mis en ligne cet été sur la plateforme Feedbooks deux textes précédemment publiés en revues, La donne et La nouvelle, sous forme de petits ebooks téléchargeables gratuitement. Début septembre, j’ai ajouté un nouveau texte d’humour, Le petit appartement au sixième étage dans la prairie.

Ces dernières semaines, l’outil de publication de Feedbooks s’est grandement amélioré, et les réticences dont je faisais part lors de mon premier bilan sont aujourd’hui tombées pour la plupart. Le site offre désormais un véritable outil de publication, comme on en trouve sur les blogs, avec les fonctions de base (gras, italique, souligné, alignement à droite, centré…), mais aussi d’autres plus évoluées (caractères spéciaux, espace insécable, gomme de formatage…) On devrait avoir bientôt la possibilité d’envoyer des couvertures personnalisées, puis d’inclure des images directement dans le texte.

Concernant la diffusion, j’ai pu relever plus de 300 téléchargements en quelques semaines sur ces trois textes, ce qui est plutôt appréciable. Certains auteurs de langue française présents sur Feedbooks depuis plus d’un an ( Thomas Desmond, Irène Delse) comptent près de 1000 téléchargements par texte. Un résultat très enviable, d’autant plus que les statistiques sont fiables et les chiffres « nets » : la procédure de téléchargement reste un acte volontaire, une « commande de texte » (même si elle est gratuite en l’occurrence), alors que les statistiques des blogs ou des sites reflètent souvent les passages hasardeux des internautes sur les pages web.

Mais pour parvenir à un minimum d’audience, l’auteur doit participer à la diffusion. Comme l’indique Hadrien Gardeur, cofondateur de Feedbooks, dans un commentaire à ma précédente note : « Globalement, que ce soit quand on diffuse sa vidéo sur Youtube, ses photos sur Flickr ou ses chansons sur Myspace, le principe reste le même. Celui de la communication « many to many » : il appartient à l’auteur de pousser en avant la diffusion de son œuvre et il ne faut pas compter sur la plateforme de diffusion en elle-même pour avoir du succès. Bien sûr, si on apparaît en première page d’un de ces sites, on est porté par leur fréquentation, mais il faut une impulsion initiale que seul l’auteur peut donner à son œuvre. »

Bien des lecteurs refusent encore le format numérique, revendiquant leur fidélité au papier, mais les supports physique et virtuel ne sont pas en concurrence, les deux vont coexister et correspondent à des usages ou à des moments de lecture différents. L’arrivée de nouveaux formats comme l’ePub, qu’on peut lire entre autres sur l’iPhone, via le logiciel Stanza, va générer de nouvelles pratiques de lecture. S’il est préférable (en tout cas, pour ceux de ma génération) de lire un bon livre « à l’ancienne » dans son intérieur douillet, il peut s’avérer plus pratique, debout dans un RER bondé, de lire sur un lecteur électronique ou sur l’écran de son téléphone portable, comme j’ai pu le constater à Tokyo. Dans un bon article du Monde, signé Karyn Poupée, on apprend que 25 millions de Japonais ont ainsi lu le roman Koizora (« Ciel d’amour ») avant même sa mise en place en librairie. Koizora est en fait un des premiers best-sellers de l’ère numérique, un « keitai shosetsu », un roman sur portable, téléchargé et lu sur un téléphone portable. Loin d'atteindre de tels scores, la plateforme Feedbooks peut cependant afficher 28 000 livres distribués chaque jour et un million de fichiers au format ePub téléchargés.

 

*

 

(Clliquer sur les couvertures pour accéder à la page de téléchargement. Pour la lecture sur ordinateur, choisir le format PDF.)

 

839-original.png835-original.png

 1147-original.png