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vendredi, 16 mars 2012

Une publication sur le blog d'Harfang

Le texte "Le bureau des admissions" a été choisi comme micro-nouvelle du mois de mars sur le blog de la revue de nouvelles Harfang :

http://nouvellesdharfang.blogspot.com/p/revue-harfang.html

dimanche, 28 mars 2010

La nouvelle, 2000 téléchargements

De mes six textes présents sur la plateforme Feedbooks, les plus téléchargés à ce jour sont :

 

La nouvelle, 2024 téléchargements.

Café Corneille, 1296 téléchargements.

La donne, 993 téléchargements.

 

Merci à Solko pour son billet chaleureux sur mes nouvelles absurdes :

http://solko.hautetfort.com/archive/2009/07/22/cafe-corne...

 

 

Les 6 ebooks en ligne (cliquer sur les couvertures) :

 

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mercredi, 30 septembre 2009

Café Corneille, définitivement une fiction

Le restaurant-bar Le Corneille, situé 132 rue Pierre Corneille à Lyon-3e, cadre de la nouvelle Café Corneille, vient de céder la place à un nouvel établissement, Tête à Tête, bistrot ouvert par Christian Têtedoie, le chef étoilé du quai Pierre Scize.

Corneille2.JPGLa disparition du Corneille, reléguant ce café dans le passé, a pour moi l'étrange conséquence de transformer ce texte en fiction, ou du moins d'en accentuer le caractère fictif. Déjà le café contigu, qui s'appelait Le Beaujolais, avait changé de nom depuis plusieurs années. Mais cette fois, c'est le lieu même de l'action qui s'est transformé dans la perte de son nom (sa raison sociale).

J'éprouve curieusement une sorte de soulagement avec la fin du Corneille. Le réel étant inextricablement lié avec la fiction, je ne pouvais passer devant cette enseigne sans une certaine gêne, car j'avais mis en scène un lieu commercial sous couvert de décor et des personnes existantes sous couvert de personnages. Lors de la mise en ligne de la nouvelle sur la plateforme Feedbooks, sous forme d'un e-book, j'avais par courtoisie envoyé le texte aux gérants du restaurant-bar. Ceux-ci ne m'avaient pas répondu, mais j'ai appris récemment qu'ils n'étaient que les repreneurs de cet établissement, et que la femme qui avait créé ce café-bibliothèque si original ne le tenait déjà plus, s'étant retirée des affaires.

*

Mise en ligne sur Feedbooks voici un an, cette nouvelle a été téléchargée plus de 900 fois. Simultanément, le texte La nouvelle dépasse les 1300 téléchargements. Alors que le livre se vend très difficilement, je reste surpris par le succès du téléchargement gratuit.

 

samedi, 08 novembre 2008

Le Passe Rêve, de Markus Leicht

leicht.jpgPremier livre d’une toute nouvelle maison d’édition lyonnaise au nom très onirique (Le Songe des Murènes), le recueil de textes courts de Markus Leicht rassemble 20 petites proses écrites pour le net : la plupart de ces fictions ont déjà fait l’objet d’ebooks sur le site Feedbooks.

De l’humour, de la science-fiction, du fantastique, de la cuisine, des étoiles, un escabeau, des gnomes, une mémé, un chat, des robots, un champignon, du sable et des souvenirs. Bref un agréable bric-à-brac, le lecteur se retrouve transporté au royaume de la fantaisie, dans un monde que l’esprit de sérieux a depuis longtemps déserté. Une écriture buissonnière et décontractée, entre idéalisme et sourire, qui sait aussi nous offrir un très beau moment d’émotion avec le texte « Souvenirs, souvenirs », nous ramenant au temps du transistor et du yéyé…

Fin décembre, le même éditeur publiera une anthologie de textes fantastiques Les Soleils d’Infernalia.

 

Le Passe Rêve, de Markus Leicht, Le Songe des Murènes, c/o Temps Livres, 8 rue d’Algérie, 69001 Lyon. 7 €.

dimanche, 02 novembre 2008

Café Corneille

Corneille2.JPGCinquième texte à être mis en ligne sur Feedbooks, la nouvelle Café Corneille est parue dans une première version en 2002 dans la revue Harfang.

Une œuvre de fiction ayant pour cadre un lieu réel de Lyon : un café-bibliothèque près de la préfecture. Jean-Paul, qui vient de prendre une année sabbatique pour écrire, vient y contempler les livres et rêver de son œuvre à venir…

 

Les premières lignes :

"Il a attendu longtemps avant de se rendre au café Corneille.

Le café se situe comme son nom l’indique rue Pierre Corneille, au numéro 134, tout près de la préfecture. Jean-Paul connaît bien la préfecture pour y avoir travaillé très longtemps, près de vingt ans ; il connaît bien le bistrot pour y être venu en ce temps-là, prendre un café après le repas à la cantine ou boire une bière après l’heure de fermeture des bureaux. C’était alors un établissement ordinaire, un bistrot de quartier (qui faisait déjà restaurant à midi), sans rien de particulier. Il n’était pas question de livres. Ni à plus forte raison de littérature. Voici trois ou quatre mois, il a lu un article dans Le Progrès consacré à ce café-bibliothèque de Lyon – où le client peut à la fois boire et lire un livre, si ça lui chante, le temps de sa consommation. On peut également échanger un de ses propres livres avec un ouvrage détenu au café. Paul Pavillon, ancien journaliste et critique au Progrès, qui sait par cœur tous les lieux littéraires de la ville, lui en a une fois parlé au téléphone. Une femme qui adore les livres anime ce lieu peu commun. Jean-Paul a fréquenté des librairies qui faisaient salon de thé, mais jamais un bistrot qui se mêle de littérature."

 

Texte téléchargeable gratuitement : Café Corneille

 

Rappel des 4 premiers textes disponibles sur Feedbooks :

La nouvelle

La donne

Le petit appartement au sixième étage dans la prairie

L’année des corbeaux

 

jeudi, 28 août 2008

Feedbooks, premier bilan

Le 26 juillet dernier, j’ai publié sur le site Feedbooks sous formes de petits livres numériques (ou e-books), deux courts textes précédemment parus en revues, La nouvelle et La donne.

 

Un mois après, quel premier bilan tirer de cette expérience ? Plus de 120 téléchargements ont été effectués, dont 80 pour La nouvelle. Un résultat encourageant, mais comme j’avais fait un signalement intensif par courriels de ces publications, il est encore trop tôt pour juger de la fréquentation du site et de la possibilité de gagner par cette formule de nouveaux lecteurs.

Le fonctionnement de la plateforme, bien qu’il soit très intuitif et sans notice d’aide, est simple et efficace. J’ai rencontré cependant deux difficultés : lors du transfert de mon texte originel dans la page d’édition par copier-coller, les passages en italiques se sont transformés en caractères droits, sans possibilité de revenir sur ce phénomène (j’ai donc dû remplacer les italiques par des guillemets, des majuscules…) ; par ailleurs, dans La nouvelle, les points-virgules ont disparu lors du passage en PDF.

Hadrien Gardeur, co-fondateur de Feedbooks, que j’ai interrogé sur ces difficultés, m’a très rapidement répondu en m’annonçant la prochaine mise en place d’une nouvelle version qui répondra aux besoins des auteurs utilisateurs : « La partie édition du site va considérablement évoluer dans les prochaines semaines et devenir à la fois plus puissante et intuitive. Il est déjà possible de mettre en forme les textes, mais en envoyant directement du HTML alors que dans la nouvelle version il sera possible de directement copier/coller la mise en forme, ainsi que de tout contrôler via un éditeur WYSIWYG, similaire à ce qu’on a sur un blog/forum. »

J’attendrai ainsi la mise en place de ce nouvel outil pour uploader de nouveaux textes.

 

Plusieurs personnes, à qui j’avais signalé ces publications, m’ont par ailleurs fait part de leurs doutes ou de leurs réticences quant à cette nouvelle forme d’édition : elle soulève deux types de problèmes, liés à l’absence de sélection et à la gratuité.

L’absence de sélection (tout le monde peut mettre en ligne ses textes), donc l’absence de tiers légitimant, de cette reconnaissance par un professionnel qui constitue l’un des principes essentiels de l’édition véritable, n’est pas un phénomène nouveau. Depuis l’explosion des blogs et des sites en ligne, n’importe qui peut offrir ses textes dans ce gigantesque compte d’auteur gratuit que représente l’édition via internet. On ajoutera que la situation bloquée de l’édition traditionnelle, qui ne joue plus son rôle de filtre et de promotion des nouveaux talents, contribue à ce recours à la publication en ligne.

Plus intéressantes sont les objections liées au droit d’auteur et à son modèle économique. La gratuité d’un contenu littéraire semble un principe inacceptable pour beaucoup d’auteurs. Sans compter le risque de pillage des textes exposés sur le net, que j’ai pour le moment contourné de la façon suivante : les deux textes publiés ont fait voici quelques années l’objet d’une ou plusieurs parutions en revues papier, ce qui me met en mesure de pouvoir prouver l’antériorité de mon texte en cas de plagiat.

Mais faut-il offrir gratuitement ses textes ? L’édition numérique en elle-même n’implique pas forcément la gratuité, puisqu’il existe des éditeurs numériques proposant des contenus électroniques payants sous forme de fichiers à télécharger et protégés. Ce qui n’empêchera pas l’édition parallèle gratuite de textes classiques, ni la possibilité de contourner les systèmes de protection (on le voit largement pour la musique et les films) pour télécharger illégalement des textes contemporains.

Le droit d’auteur, tel qu’on le vit depuis plus d’un siècle, se trouve bouleversé par cette nouvelle forme d’édition. Non dans toutes ses composantes : le droit de divulgation et de retrait, le droit moral qui protège l’intégrité d’un texte ne sont pas remis en cause. Mais le modèle économique du droit d’auteur, du droit patrimonial d’exploitation (une rémunération proportionnelle au nombre d’exemplaires vendus) va devoir s’adapter ou coexister avec de nouvelles formes de diffusion. Je n’exclus pas pour ma part de mettre une partie de ma production en ligne gratuitement tandis que d’autres textes resteront soumis au modèle traditionnel payant, à l’instar de certains interprètes qui laissent en téléchargement gratuit des parties d’un album qui fait lui-même l’objet d’une vente. Les choses évoluent vite, sous la simple pression du progrès technologique offrant nouveau média et nouveaux outils, et la réflexion est loin d’être close…

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Depuis la mise en ligne de ce billet, j'ai pu rétablir les italiques dans mon texte, avec des balises HTML.

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(Cliquer sur les couvertures pour accéder au téléchargement. Pour la lecture sur ordinateur, choisir le format PDF.)

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dimanche, 27 juillet 2008

Deux publications chez Feedbooks

Deux textes précédemment parus en revues, La nouvelle et La donne, viennent d'être republiés sous forme de petits livres numériques gratuits chez Feedbooks. Ils sont téléchargeables et lisibles en plusieurs formats : PDF, ePub, Mobypocket/Kindle, Sony Reader, iLiad.

 

(Cliquer sur les couvertures pour accéder au téléchargement. Pour la lecture sur ordinateur, choisir le format PDF.)

 

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