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vendredi, 09 décembre 2011

Mes livres numériques

Plusieurs de mes ouvrages publiés il y a quelques années sont devenus introuvables (tirage épuisé, éditeur en faillite…) et ne sont plus proposés qu’en occasions sur des sites de librairies en ligne. Dans l’attente d’une hypothétique réédition de ces titres par un nouvel éditeur, je propose une version numérique de ces textes sous forme de livres numériques ou ebooks. Chacun de ces textes est vendu à moins de 4 euros.

Trois titres sont donc à nouveau disponibles sur des plateformes de téléchargement (Amazon et Youscribe, pour l'instant). Les formats sont PDF, EPUB (standard pour la plupart des liseuses) et MOBI pour le Kindle.

Le nom, roman, publié chez A contrario en 2005.

nom, Le - Jean-Jacques Nuel.jpgQuand un écrivain en mal d'inspiration transforme son nom propre en nom commun et en fait la matière de son oeuvre... Ce roman a reçu un excellent accueil critique, notamment dans Le Magazine littéraire et sur le site d'ARTE.

"Le miracle, c'est que l'auteur arrive à maintenir l'attention durant 140 pages avec son seul patronyme, et avec une virtuosité que n'eut pas reniée Perec. (...) En se livrant, sur quatre lettres, à une multitude de variations, il parvient à créer une oeuvre véritable, avec à la fin une bonne petite morale s'inscrivant tout naturellement dans le seul décor où le nom subsiste, gravé : un cimetière. (...) C'est ce que l'on appelle un tour de force, et l'auteur va sûrement s'en faire un, de nom."

Claude Mourthé, Le Magazine littéraire.

Dossier critique du roman Le nom

Le nom en ebook :

En format MOBI pour le Kindle sur Amazon 

En format EPUB 

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Portraits d’écrivains, publié chez Editinter en 2002.

Portraits d'ecrivains - Nuel Jean-Jacques.jpgParfois ironiques, parfois mélancoliques ou désespérés, toujours lucides et désenchantés, ces portraits d'écrivains mettent en scène une série de "caractères", une constellation de destins qui vont et viennent de l'ombre à la lumière. Si quelques-uns de ces auteurs ont réussi, la plupart restent dans l'anonymat et rêvent de gloires minuscules ; tous cultivent une forme d'insatisfaction. Au-delà de leur condition particulière d'écrivains, ces personnages ressemblent au "commun des mortels" dans leur expérience de la déception et de la souffrance, de l'errance et de la solitude ; ils composent les multiples figures de l'homme aux prises avec le temps ou empêtré dans son passé, celui que nous sommes tous, sans nécessairement écrire.

Dossier critique du recueil Portraits d’écrivains

Portraits d’écrivains en ebook :

En format MOBI pour le Kindle sur Amazon 

En format EPUB 

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Immenses (poésies complètes).

Immenses - Nuel Jean-Jacques.jpgCet ensemble poétique reprend les trois recueils publiés :

"Du pays glacé salin", Cheyne éditeur, 1984 ; "Noria", Pleine Plume éditeur, 1988 ;

"Immenses", Le Pré de l'Age éditeur, 1989 ; réédité par Pré carré, 2002.

Avec une "préface à une réédition de mes poésies complètes" par l'auteur.

Immenses en ebook :

En format MOBI pour le Kindle sur Amazon 

En format EPUB 

 

dimanche, 28 mars 2010

La nouvelle, 2000 téléchargements

De mes six textes présents sur la plateforme Feedbooks, les plus téléchargés à ce jour sont :

 

La nouvelle, 2024 téléchargements.

Café Corneille, 1296 téléchargements.

La donne, 993 téléchargements.

 

Merci à Solko pour son billet chaleureux sur mes nouvelles absurdes :

http://solko.hautetfort.com/archive/2009/07/22/cafe-corne...

 

 

Les 6 ebooks en ligne (cliquer sur les couvertures) :

 

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mercredi, 30 septembre 2009

Café Corneille, définitivement une fiction

Le restaurant-bar Le Corneille, situé 132 rue Pierre Corneille à Lyon-3e, cadre de la nouvelle Café Corneille, vient de céder la place à un nouvel établissement, Tête à Tête, bistrot ouvert par Christian Têtedoie, le chef étoilé du quai Pierre Scize.

Corneille2.JPGLa disparition du Corneille, reléguant ce café dans le passé, a pour moi l'étrange conséquence de transformer ce texte en fiction, ou du moins d'en accentuer le caractère fictif. Déjà le café contigu, qui s'appelait Le Beaujolais, avait changé de nom depuis plusieurs années. Mais cette fois, c'est le lieu même de l'action qui s'est transformé dans la perte de son nom (sa raison sociale).

J'éprouve curieusement une sorte de soulagement avec la fin du Corneille. Le réel étant inextricablement lié avec la fiction, je ne pouvais passer devant cette enseigne sans une certaine gêne, car j'avais mis en scène un lieu commercial sous couvert de décor et des personnes existantes sous couvert de personnages. Lors de la mise en ligne de la nouvelle sur la plateforme Feedbooks, sous forme d'un e-book, j'avais par courtoisie envoyé le texte aux gérants du restaurant-bar. Ceux-ci ne m'avaient pas répondu, mais j'ai appris récemment qu'ils n'étaient que les repreneurs de cet établissement, et que la femme qui avait créé ce café-bibliothèque si original ne le tenait déjà plus, s'étant retirée des affaires.

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Mise en ligne sur Feedbooks voici un an, cette nouvelle a été téléchargée plus de 900 fois. Simultanément, le texte La nouvelle dépasse les 1300 téléchargements. Alors que le livre se vend très difficilement, je reste surpris par le succès du téléchargement gratuit.

 

dimanche, 22 mars 2009

Feedbooks, 2600 téléchargements

De mes 6 textes présents sur la plateforme Feedbooks, les plus téléchargés à ce jour sont :

 

La nouvelle , 720 téléchargements.

Café Corneille, 525 téléchargements.

La donne, 450 téléchargements.

 

Les 6 ebooks en ligne (cliquer sur les couvertures) :

 

Corneille2.JPG

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corbeaux2.JPG

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donnecouv2.jpg

 

 

 

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dimanche, 02 novembre 2008

Café Corneille

Corneille2.JPGCinquième texte à être mis en ligne sur Feedbooks, la nouvelle Café Corneille est parue dans une première version en 2002 dans la revue Harfang.

Une œuvre de fiction ayant pour cadre un lieu réel de Lyon : un café-bibliothèque près de la préfecture. Jean-Paul, qui vient de prendre une année sabbatique pour écrire, vient y contempler les livres et rêver de son œuvre à venir…

 

Les premières lignes :

"Il a attendu longtemps avant de se rendre au café Corneille.

Le café se situe comme son nom l’indique rue Pierre Corneille, au numéro 134, tout près de la préfecture. Jean-Paul connaît bien la préfecture pour y avoir travaillé très longtemps, près de vingt ans ; il connaît bien le bistrot pour y être venu en ce temps-là, prendre un café après le repas à la cantine ou boire une bière après l’heure de fermeture des bureaux. C’était alors un établissement ordinaire, un bistrot de quartier (qui faisait déjà restaurant à midi), sans rien de particulier. Il n’était pas question de livres. Ni à plus forte raison de littérature. Voici trois ou quatre mois, il a lu un article dans Le Progrès consacré à ce café-bibliothèque de Lyon – où le client peut à la fois boire et lire un livre, si ça lui chante, le temps de sa consommation. On peut également échanger un de ses propres livres avec un ouvrage détenu au café. Paul Pavillon, ancien journaliste et critique au Progrès, qui sait par cœur tous les lieux littéraires de la ville, lui en a une fois parlé au téléphone. Une femme qui adore les livres anime ce lieu peu commun. Jean-Paul a fréquenté des librairies qui faisaient salon de thé, mais jamais un bistrot qui se mêle de littérature."

 

Texte téléchargeable gratuitement : Café Corneille

 

Rappel des 4 premiers textes disponibles sur Feedbooks :

La nouvelle

La donne

Le petit appartement au sixième étage dans la prairie

L’année des corbeaux

 

mardi, 07 octobre 2008

L'année des corbeaux, sur Feedbooks

1376-original.pngQuatrième texte à être mis en ligne sur la plateforme Feedbooks, sous forme d’un e-book gratuit, L’année des corbeaux est paru il y a quelques années en revue (L’instant du monde, revue disparue fondée par Raymond Alcovère) et sur Pleutil. Cette brève nouvelle constitue également le premier chapitre d’un roman jamais vraiment terminé, La plaine des Chères, 1968, chronique de mes années d’adolescence dans une plaine saccagée par le progrès (autoroute, remembrement, stations d’essence, extraction de gravier dans la rivière, etc.)

Je poursuis donc l’expérience avec Feedbooks, dont j’ai tiré un premier bilan assez positif dans mon billet du 24 septembre, au rythme sage d’un texte publié par mois. Hadrien Gardeur, cofondateur de Feedbooks, m’écrit assez régulièrement pour me tenir au courant de l’évolution de cet outil de publication et de diffusion, l’un de ses objectifs étant de permettre dans quelques mois aux auteurs de vendre aussi des textes numériques : « Un espace de vente en ligne ne viendra en aucun cas remplacer un espace gratuit, je vois les deux comme complémentaires. On peut ainsi implémenter un système de recommandation qui indiquera qu’un auteur dont on a lu les nouvelles gratuites vient de publier un roman cette fois-ci payant.

Pour tout ce qui est payant je pense qu’il faut systématiquement offrir un extrait gratuit aussi, pour que le lecteur puisse se faire  une idée. (..) L’acte de vente ne vient qu’après qu’on ait pu se constituer une communauté de lecteurs. »

Il est donc possible que je mette en ligne l’an prochain des textes plus vastes, inédits ou édités devenus introuvables (romans, recueils de nouvelles…) en téléchargement payant. Feedbooks devrait connaître dans un proche avenir un double développement aux conséquences assez contradictoires pour l’auteur : une forte augmentation des téléchargements et l’apparition d’un nouveau lectorat adepte des nouveaux supports numériques (readers, iPod…) mais, dans le même temps, un afflux d’auteurs de niveau très inégal, ce qui risque de noyer tous les textes dans une masse énorme et indistincte. A suivre, donc.

 

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Mes 4 textes publiés sur Feedbooks :

(sur la page de présentation de l’e-book, dans « Select your download », choisir PDF pour la lecture sur ordinateur.)

 

La donne

La nouvelle

Le petit appartement au sixième étage dans la prairie

L’année des corbeaux

 

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 835-original.png                           1147-original.png                            1376-original.png

mercredi, 24 septembre 2008

Feedbooks, nouveau bilan d'une publication numérique

J’ai mis en ligne cet été sur la plateforme Feedbooks deux textes précédemment publiés en revues, La donne et La nouvelle, sous forme de petits ebooks téléchargeables gratuitement. Début septembre, j’ai ajouté un nouveau texte d’humour, Le petit appartement au sixième étage dans la prairie.

Ces dernières semaines, l’outil de publication de Feedbooks s’est grandement amélioré, et les réticences dont je faisais part lors de mon premier bilan sont aujourd’hui tombées pour la plupart. Le site offre désormais un véritable outil de publication, comme on en trouve sur les blogs, avec les fonctions de base (gras, italique, souligné, alignement à droite, centré…), mais aussi d’autres plus évoluées (caractères spéciaux, espace insécable, gomme de formatage…) On devrait avoir bientôt la possibilité d’envoyer des couvertures personnalisées, puis d’inclure des images directement dans le texte.

Concernant la diffusion, j’ai pu relever plus de 300 téléchargements en quelques semaines sur ces trois textes, ce qui est plutôt appréciable. Certains auteurs de langue française présents sur Feedbooks depuis plus d’un an ( Thomas Desmond, Irène Delse) comptent près de 1000 téléchargements par texte. Un résultat très enviable, d’autant plus que les statistiques sont fiables et les chiffres « nets » : la procédure de téléchargement reste un acte volontaire, une « commande de texte » (même si elle est gratuite en l’occurrence), alors que les statistiques des blogs ou des sites reflètent souvent les passages hasardeux des internautes sur les pages web.

Mais pour parvenir à un minimum d’audience, l’auteur doit participer à la diffusion. Comme l’indique Hadrien Gardeur, cofondateur de Feedbooks, dans un commentaire à ma précédente note : « Globalement, que ce soit quand on diffuse sa vidéo sur Youtube, ses photos sur Flickr ou ses chansons sur Myspace, le principe reste le même. Celui de la communication « many to many » : il appartient à l’auteur de pousser en avant la diffusion de son œuvre et il ne faut pas compter sur la plateforme de diffusion en elle-même pour avoir du succès. Bien sûr, si on apparaît en première page d’un de ces sites, on est porté par leur fréquentation, mais il faut une impulsion initiale que seul l’auteur peut donner à son œuvre. »

Bien des lecteurs refusent encore le format numérique, revendiquant leur fidélité au papier, mais les supports physique et virtuel ne sont pas en concurrence, les deux vont coexister et correspondent à des usages ou à des moments de lecture différents. L’arrivée de nouveaux formats comme l’ePub, qu’on peut lire entre autres sur l’iPhone, via le logiciel Stanza, va générer de nouvelles pratiques de lecture. S’il est préférable (en tout cas, pour ceux de ma génération) de lire un bon livre « à l’ancienne » dans son intérieur douillet, il peut s’avérer plus pratique, debout dans un RER bondé, de lire sur un lecteur électronique ou sur l’écran de son téléphone portable, comme j’ai pu le constater à Tokyo. Dans un bon article du Monde, signé Karyn Poupée, on apprend que 25 millions de Japonais ont ainsi lu le roman Koizora (« Ciel d’amour ») avant même sa mise en place en librairie. Koizora est en fait un des premiers best-sellers de l’ère numérique, un « keitai shosetsu », un roman sur portable, téléchargé et lu sur un téléphone portable. Loin d'atteindre de tels scores, la plateforme Feedbooks peut cependant afficher 28 000 livres distribués chaque jour et un million de fichiers au format ePub téléchargés.

 

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(Clliquer sur les couvertures pour accéder à la page de téléchargement. Pour la lecture sur ordinateur, choisir le format PDF.)

 

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