lundi, 23 janvier 2012
Revue de détail n° 27
(Cette chronique est parue dans Le Magazine des livres n° 33.)
De l’utilité du chiendent
Sous-titrée « cahier d’arts et de littératures », Chiendents, une nouvelle revue littéraire vient de naître aux éditions du Petit Véhicule. Luc Vidal, directeur de la publication, présente ainsi le projet dans le numéro inaugural : « Les dictionnaires définissent le chiendent comme une mauvaise herbe des cultures et des pelouses. Mais appliqué au champ littéraire il est fertile, nécessaire et indispensable. Pourquoi ? La culture institutionnelle depuis trente années a une tendance plus que naturelle à laminer tout ce qui n’est pas elle. Dame Nature offre au chiendent pourtant la possibilité d’être utile. En Bretagne, avec les oyats, le chiendent consolide les dunes. Ce cahier sera la dune et le sable d’une vraie liberté du mot, de sa chanson et de sa couleur. Il s’agit aujourd’hui, plus que de défendre, de faire vivre une démocratie culturelle authentique du véritable échange et partage. »
Le pari de l’équipe de Chiendents est de faire vivre une revue légère (40 pages), de faible coût (3 €) et de périodicité fréquente (mensuelle). Sous couverture noire ornée d’une belle vignette collée, le numéro 1 offre trois nouvelles de qualité signées Yves Hughes, Louise de Ravinel et Roger Wallet ; le numéro 2 intitulé « Jean-Luc Pouliquen ou le voyageur de mémoire » est un intéressant dossier sur ce poète dont le nom breton dissimule une appartenance méditerranéenne. C’est d’ailleurs sous cette double identité que s’est construit son parcours poétique, se réclamant à la fois des poètes de l’Ecole de Rochefort et de la poésie de langue d’Oc. Le dossier comprend un entretien de Pouliquen avec le philosophe brésilien Gaspar Paz, des études critiques, un texte inédit de l’auteur inspiré par un voyage à Rio de Janeiro. Des notes de lecture complètent cette revue dont les débuts sont excellents et prometteurs.
Chiendents n° 1 et 2, éditions du Petit Véhicule, 3 €.
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dimanche, 15 janvier 2012
Entretien avec Stéphane Prat
Sur son blog Le manchot-clown, Stéphane Prat me consacre un bel article et un entretien, on y parle entre autres des éditions Le Pont du Change.
http://lemanchot-clown.over-blog.fr/article-jean-jacques-...
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vendredi, 13 janvier 2012
Envois postaux : la Poste condamnée
Envoi d'objets : la Poste condamnée à une amende d'un million d'euros.
PARIS (AFP) - L'Autorité de régulation des télécoms (Arcep) a condamné mercredi La Poste à une sanction d'un million d'euros parce qu'elle ne propose pas d'"offre abordable" pour l'envoi "de petits objets", ce qui va selon elle à l'encontre des obligations de service universel de l'entreprise.
"Il résulte tant du droit communautaire que de la loi française, que le service universel postal doit comporter une offre, à un prix abordable, d’envois postaux d’un poids maximum de 2 kilogrammes", indique l'autorité dans un communiqué.
"Or, La Poste n’autorise plus, depuis 2007, dans le cadre de son offre commerciale de service universel +Lettre+, l’envoi de marchandises avec ou sans valeur commerciale. En outre, elle exclut actuellement de son offre +Mini Max+ destinée aux petits objets, l’acheminement d’envois d’une épaisseur supérieure à 2 centimètres et de plus d’1 kilogramme", a-t-elle déploré.
"Par conséquent", l’Autorité "a constaté qu’il n’existait, au sein du service universel que la loi a confié à La Poste, aucune offre à un tarif abordable, c’est-à-dire proche de celui de la +Lettre+, permettant l’acheminement d’envois postaux, autres que les correspondances, pesant moins de 2 kilogrammes et dont l’épaisseur est supérieure à 2 centimètres".
"De telles offres existent pourtant dans de nombreux pays européens", dénonce l'Arcep.
"Maintes fois alertée, notamment par des associations de consommateurs ou d’entreprises de e-commerce, du besoin d’une telle offre à tarif abordable, l’Autorité ne peut que constater, malgré la mise en demeure adressée le 28 juillet 2010, le maintien de la méconnaissance par La Poste d’une de ses obligations de service universel", résume-t-elle.
"Dans ces conditions", l'Arcep indique qu'elle "prononce une sanction pécuniaire d’un million d’euros qu’elle estime proportionnée au manquement constaté".
© 2011 AFP
10:34 Publié dans Annexes et dépendances | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poste, envois postaux, arcep
samedi, 31 décembre 2011
Vies et morts de Nouvelle Donne
Christian Congiu est mort le 27 décembre dernier. Je remets en ligne cet entretien qu'il m'avait accordé en 2003. Il a mené une action riche et inlassable en faveur du genre de la nouvelle.
Le magazine Nouvelle Donne s’est arrêté avec le numéro 34 (début 2004). Il était le principal organe, avec Brèves, de diffusion de la nouvelle en France. Je mets en ligne, pour l’intérêt qu’ils présentent dans une histoire des revues, cet article et cet entretien avec Christian Congiu, parus dans Salmigondis n° 20 (2003).
Christian Congiu, l’âme de Nouvelle Donne
Né à Agadir, au Maroc, en 1954, Christian Congiu, que vous croiserez dans divers salons du livre, professeur dans un lycée de la région parisienne, animateur d’ateliers d’écriture, producteur d’émissions de radio, écrivain, est aussi et d’abord directeur de publication et rédacteur en chef du magazine Nouvelle Donne.
Ce magazine tiré à plus de 5 000 exemplaires et bien diffusé en kiosques représente le dernier avatar du projet tenace de Congiu de créer et piloter un vrai support de diffusion de la nouvelle. Car en 1990, à part Brèves, il n’y avait rien, et les quelques tentatives ambitieuses de magazines grand public (qui se souvient de Nouvelles nouvelles ?) ont toutes été des échecs. Congiu rejoint d’abord David Nahmias et sa petite revue, L’Entaille. De leur collaboration naît L’Entaille Nouvelles, dont le nombre d’abonnés chute à 75 (preuve, selon Congiu, que le lectorat était constitué d’auteurs qui cherchaient davantage une adresse pour être publiés qu’une revue à lire), puis une formule originale, Taille Réelle, journal mensuel à 10 francs, tiré à 15 000 exemplaires et distribué par les NMPP. L’enjeu était de toucher un large public, de sortir du ghetto des petites revues qui tournent en rond. Mais la formule se révéla déficitaire, et ne connut que 7 numéros. Congiu ne s’est pas découragé et est reparti en 1993 avec Nouvelle Donne, un magazine trimestriel. « ND, cela signifie à la fois la redistribution des cartes, le pari risqué et le geste d’offrir. » Il réunit une équipe motivée autour de lui. Un comité de lecture indépendant de la direction de publication et d’au moins 6 personnes lit et sélectionne les textes : c’est long mais démocratique et efficace.
Nouvelle Donne évite la dérive intellectuelle de la théorie (« La France est ravagée par cette tendance au discours critique »), et veut présenter tout le spectre de la nouvelle, et surtout, donner à lire, des auteurs reconnus mais aussi des inconnus, révéler de nouveaux auteurs.
Toujours en mouvement, jamais satisfait, Christian Congiu vient encore de modifier la formule : un magazine bimestriel, plus léger, une maquette aérée, avec des rubriques bien identifiées. Il espère atteindre les 10 000 exemplaires. Une activité éditoriale se greffe au magazine : Nouvelle Donne a ouvert chez Nestiveqnen une collection d’anthologies (Les chevaliers sans nom, Les Nouvelles nuits, Le dernier livre), et publié récemment deux recueils d’auteurs.
Incontestablement, la nouvelle se porte mieux en France depuis quelques années (même si l’on aimerait qu’elle soit encore plus présente), et Nouvelle Donne y est pour quelque chose. Les recueils de nouvelles, y compris d’auteurs peu connus, sont plus nombreux chez les grands éditeurs. Des éditeurs de livres à 2 ou 3 euros (Mille et une nuits, Librio…) n’hésitent pas à s’aventurer dans ce genre.
Il est facile de fonder une revue de plus, l’annuaire Arlit du Calcre en répertorie plus de 1 000. Mais à quoi bon s’autoéditer en groupe, ronronner dans son coin ? L’immense mérite de Congiu et de son équipe est de tout faire pour la diffusion. Plutôt que de geindre sur l’état du genre, se battre pour le rendre populaire. Ce militant éclairé de la littérature, qui se définit comme un initiateur et un défricheur, fait avancer les choses.
Toutes ces activités ne l’empêchent pas de mener une œuvre littéraire diversifiée : il a publié notamment un polar Le Poulpe, La Nantes religieuse, et plusieurs recueils chez Editinter, dont le dernier Pour l’amour dollar.
JJN
Questions à Christian Congiu
Penses-tu que les revues littéraires qui publient des nouvelles se soucient suffisamment de leur diffusion ?
L’Entaille était une revue. Puis, Taille Réelle Mensuel a été un journal tabloïd. Enfin, Nouvelle donne est devenu LE magazine de la nouvelle. Je pense que, pour ce qui est du souci de diffusion, chacun a son histoire et la nôtre est inscrite dans l’idée que la nouvelle doit être publiée face au plus grand nombre..
Un auteur de nouvelles peut-il vivre de sa plume (ou de son ordinateur) ?
Oui, sans aucun doute. Mais ce n’est pas souhaitable car ce serait aller au-devant de ce qu’attend le public ou de ce que les rédacteurs-chefs des magazines qui paient pensent que le public attend, c’est à dire faire du « Loft Story » littéraire et non être créatif. Mais oui, on peut vendre son talent, tous azimuts, cela dure ce que cela dure (deux ans en général). Qu’on se souvienne de « L’Homme à la cervelle d’or » (Alphonse Daudet). Et puis, cela dépend de ce que l’on appelle « vivre ».
Quel dosage effectue le magazine entre auteurs reconnus, peu connus, voire inconnus ?
Nous avons une rubrique « Bonne Pioche » qui met en avant un auteur reconnu (Amélie Nothomb, Bernard Werber, Arnaud Cathrine…). Si cet auteur veut nous accorder une nouvelle, elle est la bienvenue. De même, dans les différentes rubriques, les personnes interrogées peuvent nous offrir une nouvelle. C’est surtout le cas de la rubrique « L’Un l’Autre » où un auteur reconnu présente un auteur en voie de reconnaissance. Là, nous demandons au second d’apporter un texte pour compléter la présentation qui est faite de lui, ou d’elle. Sinon, tout le reste est consacré par notre comité de lecture aux nouvelles qui nous sont parvenues par la poste. C’est aussi une question de longueur des nouvelles que nous recevons et que nous élisons…
Est-il important de donner à lire de nouveaux auteurs ?
Bien sûr. À condition qu’ils soient nouveaux dans le sens « créatifs » et pas seulement qu’ils arrivent parce qu’ils débutent.
Quel est à ton sens le seuil de ventes à partir duquel le magazine Nouvelle Donne ne reposerait plus sur le bénévolat, mais pourrait rétribuer les auteurs et les membres de l'équipe ? Souhaites-tu cette rémunération et cette professionnalisation ?
Oui, je souhaite cette rémunération, de toute la vigueur qui me reste. Nous avons pas mal progressé depuis trois ans. Il nous reste cette étape à franchir : professionnaliser le comité de rédaction et payer les nouvelles ou les enquêtes importantes. C’est important car cela signifierait que la nouvelle est devenue adulte et que, même symbolique, la rémunération est une marque de respect et non un coup de main que les grands prêtent aux petits ou que des bénévoles accordent à des inconnus. C’est sortir la nouvelle et la création de son statut de SOS-assistance littérature.
Répondre à la question du nombre d’exemplaires vendu est plutôt du ressort du trésorier, François Ryon, à qui je rends hommage ici car, sans lui et sans l’équipe forte et fidèle (Fabrice Bourland, Isabelle Chemin, Muriel Mahler, Brigitte Niquet, Myriam Chauvy, Leo Lamarche, Sophie Germain, Ronan Gohlen essentiellement), nous ne pourrions pas penser à l’avenir de Nouvelle donne.
Ce que je peux dire surtout c’est qu’il s’agit davantage d’un équilibre entre ce qui est produit et ce qui est vendu. Si nous vendions 30% de ce qui est distribué et que nous ayons trois publicités dans nos pages, nous pourrions envisager les choses autrement. Ce n’est pas encore le cas.
Penses-tu développer l'activité éditoriale, parallèle au magazine (poursuivre des collaborations, des collections comme celle avec Nestiveqnen) ?
C’est une évidence. Il est logique que, outre l’exposition, les conférences et les ateliers d’écriture que nous menons pour promouvoir la nouvelle, nous ayons notre émission-radio et notre pôle éditorial. Nous faisons une pause de réflexion avec Nestiveqnen et envisageons une surface plus grande pour nos anthologies et nos collectifs, voire « nos » auteurs (j’entends : ceux que nous avons découverts et encouragés). N’oublions pas non plus que nous sommes à la veille de la création d’un Festival de la nouvelle, dont Nouvelle Donne serait le maître d’œuvre…
Le dernier numéro fait appel à une « locomotive », peu connue pour être nouvelliste (Amélie Nothomb n'a pratiquement écrit que des romans). Sa présence est-elle autre chose qu'un argument publicitaire ?
Ce qui nous intéresse, avec cette nouvelle mouture de Nouvelle Donne est l’écriture ardente, brève, incisive. Qu’on l’appelle « nouvelle », « novela » ou « petit roman », ce sont des termes qui classifient, parfois faussement, qui sont des tiroirs qui parfois embarrassent les éditeurs.
Ce qui est sûr, c’est que Amélie Nothomb écrit bref et incisif. J’ai rencontré cette dame et j’ai été impressionné par elle. Loin des clichés, elle est une vraie personnalité « littéraire », romanesque. « Folle », de cette folie littéraire qu’on admirerait si elle était morte et que l’on rejette parce qu’elle a porté des chapeaux à la télé. Elle n’est pas calculatrice et elle a une réelle générosité de soi. Ce n’est pas comme d’autres qui ont fait scandale volontairement et se sont retirés la queue entre les jambes en prétendant qu’ils avaient été « saouls » au moment de l’entretien. Elle ne cherche pas le scandale, elle est. Quant à son écriture, elle est simple, simplissime, parfois même elle devrait être retravaillée. Mais elle a une vibration, une épaisseur, de l’authenticité et du besoin d’écrire. Pas comme certains auteurs qui ont eu aussi du succès mais avec des textes insipides, des textes à la mode… Quant Amélie dit qu’elle doit écrire, je la crois. Quant elle dit que lorsque cela ne marchera plus au niveau médiatique, elle continuera à écrire, je la crois. Voilà.
Sinon, que dire ? Son succès n’a pas été indifférent non plus : nous avons voulu montrer que la nouvelle, les nouvellistes n’étaient pas un ghetto et que nous pouvions parler à d’autres gens.
Contrairement à ce que tu sembles penser, je ne suis pas du tout gêné par cette question : nous avons fait un choix de visibilité et je suis très content d’avoir travaillé avec Amélie Nothomb. Pour des raisons médiatiques aussi, mais pas seulement.
(propos recueillis par Jean-Jacques Nuel)
Voir le site du magazine www.nouvelle-donne.net
09:43 Publié dans Rencontres avec, Revues littéraires | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : littérature, culture, revues
vendredi, 09 décembre 2011
Mes livres numériques
Plusieurs de mes ouvrages publiés il y a quelques années sont devenus introuvables (tirage épuisé, éditeur en faillite…) et ne sont plus proposés qu’en occasions sur des sites de librairies en ligne. Dans l’attente d’une hypothétique réédition de ces titres par un nouvel éditeur, je propose une version numérique de ces textes sous forme de livres numériques ou ebooks. Chacun de ces textes est vendu à moins de 4 euros.
Trois titres sont donc à nouveau disponibles sur des plateformes de téléchargement (Amazon et Youscribe, pour l'instant). Les formats sont PDF, EPUB (standard pour la plupart des liseuses) et MOBI pour le Kindle.
Le nom, roman, publié chez A contrario en 2005.
Quand un écrivain en mal d'inspiration transforme son nom propre en nom commun et en fait la matière de son oeuvre... Ce roman a reçu un excellent accueil critique, notamment dans Le Magazine littéraire et sur le site d'ARTE.
"Le miracle, c'est que l'auteur arrive à maintenir l'attention durant 140 pages avec son seul patronyme, et avec une virtuosité que n'eut pas reniée Perec. (...) En se livrant, sur quatre lettres, à une multitude de variations, il parvient à créer une oeuvre véritable, avec à la fin une bonne petite morale s'inscrivant tout naturellement dans le seul décor où le nom subsiste, gravé : un cimetière. (...) C'est ce que l'on appelle un tour de force, et l'auteur va sûrement s'en faire un, de nom."
Claude Mourthé, Le Magazine littéraire.
Dossier critique du roman Le nom
Le nom en ebook :
En format MOBI pour le Kindle sur Amazon
*
Portraits d’écrivains, publié chez Editinter en 2002.
Parfois ironiques, parfois mélancoliques ou désespérés, toujours lucides et désenchantés, ces portraits d'écrivains mettent en scène une série de "caractères", une constellation de destins qui vont et viennent de l'ombre à la lumière. Si quelques-uns de ces auteurs ont réussi, la plupart restent dans l'anonymat et rêvent de gloires minuscules ; tous cultivent une forme d'insatisfaction. Au-delà de leur condition particulière d'écrivains, ces personnages ressemblent au "commun des mortels" dans leur expérience de la déception et de la souffrance, de l'errance et de la solitude ; ils composent les multiples figures de l'homme aux prises avec le temps ou empêtré dans son passé, celui que nous sommes tous, sans nécessairement écrire.
Dossier critique du recueil Portraits d’écrivains
Portraits d’écrivains en ebook :
En format MOBI pour le Kindle sur Amazon
*
Immenses (poésies complètes).
Cet ensemble poétique reprend les trois recueils publiés :
"Du pays glacé salin", Cheyne éditeur, 1984 ; "Noria", Pleine Plume éditeur, 1988 ;
"Immenses", Le Pré de l'Age éditeur, 1989 ; réédité par Pré carré, 2002.
Avec une "préface à une réédition de mes poésies complètes" par l'auteur.
Immenses en ebook :
En format MOBI pour le Kindle sur Amazon
12:44 Publié dans Livre, Mes publications, Textes et nouvelles | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : ebooks, livres numériques, nuel
lundi, 28 novembre 2011
A tire-larigot
Une nouvelle revue trimestrielle vient de paraître en Belgique, A tire-larigot, sous la direction de Roland Counard et de James. Son but : faire connaître des écrivains francophones de toutes origines, qu’ils soient poètes, romanciers, nouvellistes, pamphlétaires ou dramaturges. Confirmés ou débutants.
Chaque auteur dispose d’un espace sous la forme d’un feuillet égal pour tous (un feuillet replié donnant 4 pages format 15 x 15 cm). Les contributions volantes sont rassemblées dans un emboîtage.
Au sommaire de ce premier numéro : Luc Baba, Jean-Michel Bongiraud, Brigitte Corbisier, Colette Decuyper, Serge Delaive, Nathalie Gassel, Karel Logist, André Romus, Jeanine Salesse et… Jean-Jacques Nuel (Roland Counard a eu en effet l’amabilité de republier l’un de mes textes, L’adieu près du pont du Change, que l’on pourra lire sur cette page.)
La revue, qui prévoit de publier également à l’avenir des interviews sur des sujets qui provoquent débat, est publiée avec le soutien de la Ville et de la Province de Liège.
A tire-larigot, Boumboumtralala éditions, 57 avenue des Côteaux 4030 Liège, Belgique. 5 €. Abonnement 4 n°s frais d’envoi inclus 25 €.
13:05 Publié dans Mes publications, Revues littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue littéraire, a tire-larigot, jean-jacques nuel
jeudi, 27 octobre 2011
Chateaubriand
La tombe de Chateaubriand à Saint-Malo, Le Grand Bé.
20:58 Publié dans Annexes et dépendances | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : chateaubriand, le grand bé